Cet atelier permettra de découvrir les différents instruments de percussions utilisés dans les répertoires classiques et populaires de l'Afrique du Nord, principalement tamazigh et gnawa, soit le bendir, le tar (tambourin à cymbalettes),
Les peuples originaires d'Afrique du Nord se désignent sous le nom d'Amazigh, tandis que ce même territoire est appelé Tamazgha.
Ammar TOUMI est né en 1965 à Ghardaïa, dans le désert algérien. Dès l’âge de quatre ans, il commence à participer à la tradition dans sa grande famille musicienne, tribu des Bleus composée d’un mélange entre les Amazires blancs et les esclaves noirs. Ils animent les fêtes et manifestations alentours. A sept ans, il s’intéresse à la musique arabo-andalouse et poursuit également sa formation auprès d'un des grands maîtres de la musique populaire du Maghreb, Ustad Zaïdi Sid Ahmed.
Depuis 1990 il vit en Suisse et a multiplié les collaborations avec des musiciens de tous horizons. Fondateur du groupe "Les Nomades" en 1995, il a participé à de nombreuses incursions dans le monde du jazz et des musiques traditionnelle du monde.
Il accompagne depuis de nombreuses années les créations du Ballet junior et de plusieurs danseurs contemporains.
Il pratique le oud, le gembri, la darbuka et diverses percussions.
LIEU :
Ateliers d'ethnomusicologie - 10, rue de Montbrillant - 1201 Genève
HORAIRE :
Les lundis de 18h30 à 20h
Cours privés sur demande
TARIF :
Cours collectif : 120 CHF par mois - 40 CHF le cours à l'unité
Cours privé : 50 CHF l'heure
CONTACT :
T : 022 732 20 03 / 078 865 19 87
Email : aoumeurtoumi730@gmail.com
Marina Pittau
Ce stage propose de chanter en polyphonie, afin d’apprendre à écouter la vibration de sa propre voix et la joindre à la vibration des autres voix présentes, pour ainsi trouver un son unique en harmonie.
Junko Ueda
Le Shômyô est un chant liturgique japonais, habituellement interpreté par les moines bouddhistes. En traduction littérale “voix et sagesse”, le shômyô est considéré comme le fondement de tous les courants musicaux japonais ultérieurs.
Sujatha Venkatesh
Après avoir longtemps été un art rituel, le Bharata Natyam s'est développé en une forme "classique", souvent représentée en public. C'est une expression complexe, où chaque mouvement du corps (abhinaya), chaque geste des mains (mudra) revêt une signification symbolique.
Habib Yammine
Ces cours mensuels se construisent autour de quatre points essentiels : la technique de jeu des instruments (daff, riqq et darbouka), le répertoire rythmique arabe savant et populaire, la polyrythmie et la métrique poétique.